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19 mars 2018

Amitié, Confiance et Survie

=> Article proposé par Elizabeth, rédactrice de Survivre au Chaos

De l’amitié des temps heureux au réseau de résistance des temps de chaos....

Si beaucoup d’entre nous ont prévu quelques proches dans les sacoches de survie, la plupart forment une petite équipe familiale et n’envisagent pas du tout d’ouvrir les portes à toutes les gentilles cigales qui se pointeront (immanquablement) le jour J.








La définition de l’amitié est celle d’un sentiment d’affection ou de sympathie sans attrait sexuel. Nous avons tous (j’exclue les hommes des bois et autres grizzly) des amis, selon qu’il s’agisse d’une sympathie professionnelle ou d’une amitié d’enfance, nous les baptisons « collègues », « relations », « potes » et de temps en temps nous leur accordons la terminologie sacrée de l’amitié et donc celle de la confiance.

Car qui dit affection, dit qu’on a posé le flingue pour ouvrir la porte et même sorti l’apéro en toute confiance.

Mais Amitié et Confiance riment-elles en temps de chaos ?

Car ouvrir sa porte en temps de paix ne pose de problème à personne, baisser sa garde lors d’une soirée alcoolisée entre amis, non plus. Mais si nous reprenons les récits de guerre (les plus récents), nous butons sur un paradoxe très difficile à cadrer et exploiter :
  1. Il n’existe pas de réseau sans amitié/confiance et objectifs communs
  2. Il n’existe pas de conflit sans ses parasites, ses traîtres et ses dénonciateurs

Alors quid de la confiance amicale si tout vient à manquer ? Pendant la seconde guerre mondiale, les actes de bravoure, depuis le simple partage jusqu’à celui de protection étaient plus rares que les actes d’égoïsmes tournés vers son propre centre d’intérêt. Mais ils existaient et permirent de sauver des milliers et des milliers de vies.

Déjà vous répondez que nos amis se comptent sur les doigts d’une seule main. Mais pour autant pouvons-nous avoir confiance en eux ?

Outre la problématique de la confiance se pose aussi celle de nos capacités à aider. Ces capacités sont quantitativement limitées et chaque fois que nous ouvrirons notre porte, nous raccourcirons notre temps restant de survie. C’est QFD : 5 boites de conserves pour 1 personne, ça dure plus longtemps que pour 5.

Quid de la confiance dans votre ami père de famille à qui sa femme explique qu’il faut absolument veiller sur l’avenir de LEURS enfants, et peu importe le reste. Pensez-vous que l’amitié suffira ? Car rien ne peut gêner une mère ou un père qui protège ses petits. Il tuera, il mentira, il volera, il détruira si nécessaire. Vous le premier sans doute.

Choisir l’amitié, c’est donc choisir le réseau avec tous ses avantages : partage des connaissances et des ressources, échanges judicieux, bras supplémentaires, stratégies de défenses communes etc…..
Mais choisir l’amitié, c’est savoir que, en temps de graves difficultés, les traitres pullulent. Votre meilleur ami, que vous connaissez depuis 20 ans, peut être au choix :
  • Un allié précieux
  • Une aide fantastique
  • Un faignant inutile
  • Un opportuniste profiteur
  • Une bouche à nourrir
  • Une balance qui vous dénonce à qui de droit 

Pour des raisons qui sont très prévisibles : les conflits d’intérêts.



Arrivé à ce niveau de raisonnement, vous me répondez, découragé, que finalement votre chien et votre femme suffiront et qu’on bouffera le chien quand on aura faim.

Pourtant, c’est la résistance qui a sauvé des milliers de juifs pendant la seconde guerre mondiale, c’est encore elle qui a sauvé la France tout court (au moins partiellement), ce sont encore ces héros de l’ombre qui ont traversé les frontières et ont fait passer l’information la plus vitale. C’est un acte de résistance authentifié qui permis d’éviter l’envoie de bombes de dernière génération sur Londres et sauvé l’Europe du nazisme.


Et si Amitié et Confiance rimaient avec Réseau et surtout Résistance ?

Il n’y a rien de plus comparable à la guerre que le chaos ! Un survivaliste est donc un résilient et par la même un résistant. N’en faisons pas un égoïste qui s’endort sur ses boites de pois-chiches, le Glock sous l’oreiller.

Au stade où nous en sommes des privations de libertés, associer le mot réseau avec celui de résistance n’a plus rien d’exceptionnel. Il y a les réseaux collabo (Facebook, Google), qui censurent et dénoncent, il y a les réseaux obscurs ou discrets qui partagent et tolèrent (je ne parle pas du black net des truands).

Notre vocabulaire qui s’était enrichi de défiance et d’un 9mm dans le jean pourrait peut-être accroître de mots forts tels que la tolérance de défauts mineurs en regard des vraies qualités nécessaires à ce type de héros des temps modernes à qui nous allons donner l’occasion de partager notre plat du jour : la Résistance.

Définir l’amitié et la confiance revient finalement, par temps de guerre (ou temps difficiles) à se définir un réseau dans lequel on a choisi ses amis, pas seulement par sympathie, mais en toute connaissance de cause.

Cette attirance amicale, souvent construite sur des projections réciproques et quelques valeurs communes va donc céder la place à d’autres valeurs et être remise en cause par une prise de conscience sans doute rapide du qui est vraiment qui et sur qui on peut ou non compter...


Surprises à venir, bonnes ou mauvaises...

Avez-vous lu quelques ouvrages qui font le récit de la vie de la résistance pendant la seconde guerre mondiale ? Je vous le conseille : les dénonciations sont aussi immondes que les actes isolés sont héroïques. N’envisagez pas de résister (au sens survivre) sans avoir enrichi votre culture personnelle de ces livres où l’on vous raconte comment passer une frontière en pleine montagne par – 20°C avec des petites chaussures ou comment le voisin d’à côté vous envoyait la gestapo pour sauver son épicerie.

Alors comment créer SON réseau amical et de confiance, celui avec lequel on va résister à de nombreux déboires et progresser de façon commune et forte ?

1°) S’y prendre assez tôt pour connaître les gens d’un point de vue vraiment personnel : comment réagissent-ils en temps de stress...
  • Version limace ou mouton, politique attentiste et effrayée (citoyens lambda, sans doute la majorité)
  • Version Coucou : où sont les nids à piller pendant que les parents sont occupés (casseurs et pillards)
  • Survivaliste dangereux qui ne copule qu’avec son AR15 (ou AK47 )
  • Survivaliste authentique et préparé, mais version loup solitaire
  • Loup consensuel acceptant de chasser en meute et capable de prendre soin des louveteaux 
  • Résistant rarissime prêt à donner sa peau pour la tribu
  • Grand pote de bringue côté pile, mais grand trouillard côté face (incapable, voire traitre ?)
  • Ami de longue date à qui j’ai demandé de me prêter 50 euros et qui m’a répondu que c’était pas de chance, sa carte bleue était périmée

Liste non exhaustive…..

2°) Copier les industriels et faire des crash-tests : vacances communes, innombrables contacts, rapports sincères où la survie en temps de crise est abordée, éventuellement bivouacs privatifs. Rien de tel que des vacances pour se fâcher me direz-vous ? Justement, si une amitié ne résiste pas à 3 jours de vacances dans de bonnes conditions, je vous passe les dégâts en cas de stress.



3°) Malgré tout, se tromper est facile. Outre le crash test, demander un service à un ami est une épreuve pleine de vérité. Pire, demander un service et demander de l’argent : pas une grosse somme, non. Juste assez importante pour voir où en est votre rapport de confiance. 1 billet et 1 service, c’est le test-qualité, comme dans l’industrie : on met le pote dans la m**de et on regarde ce qui se passe.

4°) Il n’est pas facile de réunir ces 3 conditions. Pour le minimum, Parlez de liberté, d’économie mondiale en danger, de guerres toxiques, et écoutez ce que vous raconte l’écho : si poliment il élude en vous disant que ça a toujours été le cas, alors il est probable qu’il s’agit d’un honnête citoyen qui n’a pas idée de se protéger d’un système dont il ne ressent l’oppression que lorsque le gouvernement lui pompe 2% de CSG en plus.

Une personne résistante, soit résiliente (stricto senso), c’est quelqu’un qui observe le monde, se prépare à s’adapter, anticipe les difficultés et connait ses alliés. Un survivaliste, c’est donc un résistant. Il existe des survivalistes qui ferment leur porte à tous, ceux-là ne sont pas concernés par cet article. Mais pour tous les autres, la résilience, celle dont parle la psychologie, s’appuie TOUJOURS sur des modèles, sur  un réseau. Et là, peut-être que vous éviterez d’avoir à bouffer le chien.
Voilà donc, Foi de psy, une recette de base (mais pas la seule) pour découvrir ses vrais alliés, ceux pour qui le terme d’amitié et de confiance n’est plus synonyme d’attirance intellectuelle ou d’histoire commune, mais de capacité à être solidaires et organisés en période clef : Faites vivre les pires outrages à votre relation et regardez ce qui en ressort. Puis écoutez, écoutez attentivement …… Dans l’Armée ou chez les Légionnaires, ces entraînements ou ces déboires vécus en commun forment ce qu’on appelle l’esprit de corps.


Reste le problème des bonnes œuvres …..



Qu’est-ce qu’une bonne œuvre ? C’est un acte délibéré de partage sans réciproque. En tous cas où la réciproque n’est pas prévisible ni calculée. Parce qu’amitié et confiance rime avec population de cigales désespérées qui savent bien :
  • Que vous avez un groupe électrogène
  • Que vous êtes armé
  • Que vous avez du chauffage chez vous
  • Que vos 2 congélateurs sont pleins à craquer

Alors faut-il virer les cigales ? Pas certain, d’abord parce que si vous avez la main sur le cœur plus que sur la détente, vous allez mourir de honte en refusant de réchauffer votre cousin Hubert qui se souvient qu’il y a un poêle à bois dans la maison de grand-mère et frappe à votre porte.

Là vous allez me dire qu’on ne parle plus d’amitié et de confiance. Mais si !!! Parce que l’Amitié, et surtout la confiance, sont des données contextuelles ! On accorde sa confiance à quelqu’un dans un contexte cadré et déterminé. Ce depuis la plus éloignée de nos relations jusqu’à notre meilleur ami, une relation doit toujours être cadrée et contextualisée ! C’est une règle absolue qui devrait vous permettre, même en temps de chaos, de positionner chacun par rapport à vous. Pour ce premier tri, il suffit de trier :
  1. Les résilients capables et responsables dans votre maison : ceux ou celles qui envisagent de se battre en commun pour faire vivre un réseau résistant et opérationnel en quasi toutes circonstances.
  2. Les amis de cœur réservés à votre capacité aux « bonnes œuvres » : ceux ou celles que vous aimez gratuitement et qui n’ont rien d’autre à vous offrir que le souvenir de bons moments.

Si vous partagez beaucoup avec les premiers, vous ne faites que soutenir potentiellement les seconds, sans faire connaître ni votre réseau, ni vos ressources. Pour adopter ce type de conduite, il est nécessaire d’être prudent, discret, humble et d’avoir une attitude passe partout.

Mais comment partager lorsqu’il n’y a pas grand-chose ?

La plupart d’entre nous répugnent (dans l’esprit) à donner un bout de ses réserves gratuitement à des amis (ou de la famille) qui n’ont rien voulu prévoir en temps de paix. Mais vous pouvez, lorsque vous anticipez le chaos, prévoir une partie des ressources réservées au troc, au don, à l’échange d’informations. Peut-être 5%, ou 10% ou tout simplement des choses dont vous vous passez très bien, comme des bouteilles d’alcool pour ceux qui ne boivent pas ou des briquets et allumettes qui sont abondants et pas chers en temps de paix.

Il est nécessaire de prévoir que même le chaos aura une fin et que lorsque seront venus les temps dynamiques de la reconstruction, le tissu social sera indispensable. Vos bonnes œuvres tisseront à l’avance toute ou partie de cette précieuse trame.

Il reste 2 autres gros soucis à régler :
  1. Les traîtres
  2. Les violents


Les traîtres


Parler de confiance implique d’évoquer en toute clarté son contraire : le traître de service, le Judas version 2.0



Un traître est prêt à échanger toute forme d’amitié ou même d’humanité contre sa sécurité et son bien-être personnel. Mais Il faut relativiser cette notion de traîtrise et savoir que toute personne humaine soumise à un stress physique ou mental violent peut devenir cette sorte de traître. Il est donc inutile de fustiger les traîtres, il vaut mieux tenir bon une politique qui, en matière de défense, a toujours fait ses preuves : le cloisonnement des informations et le partage des connaissances réduit au strict nécessaire.

Il n’est pas possible de repérer les traîtres en temps de paix. Ce sont des gens comme vous et moi, qui apprécient la paix, détestent l’inconfort, sont souvent un peu peureux (soit la majorité de la population), mais payent leurs impôts et respectent les limitations de vitesse. Un traître respecte les règles, mieux que ça, il les défend pour peu qu’on les justifie. Le Pétainisme regorgeait de ces traîtres à la petite semaine qui pensaient préserver un semblant de paix et disaient œuvrer pour le mieux commun quitte à faire expédier leur voisin et ami en camp de travail.

Peut-on faire confiance à un traître ? Oui, si c’est dans son intérêt. Et si son intérêt est commun avec le mien, on peut, dans une certaine mesure, troquer et marchander avec lui.

Peut-on chasser les traîtres de sa vie ? Non, car ils sont partout. Toute personne en état de fragilité mentale ou physique est potentiellement un dénonciateur, vous y compris. Avant le chaos, il s’ignore lui-même.

Les traîtres ont-ils une morale, sont-ils dignes d’amitié ?  Oui d’une certaine façon. La semaine dernière il vous aidait à charger votre bois, la semaine d’après il dénonce vos stocks privés de carburant : seul le contexte a été modifié.

La règle des règles consiste donc à considérer comme un dénonciateur potentiel toute personne ne faisant pas partie de ce premier cercle qui constitue le noyau dur de votre réseau. Ce qui n’empêche ni les bonnes œuvres, ni les actions communes, ni une forme de partage. Et surtout de distinguer un sentiment amical d’une confiance exagérée.


Les pilleurs, casseurs, violeurs : l’homme et la violence



Parce qu’à toute lumière il existe sa part opposée d’ombre, ces individus sont le contraire de vos amis (à moins que vous n’en fassiez partie).

Ils sont présents lors de chaque manifestation, se déclarent à chaque conflit, se regroupent souvent entre eux et se cachent parfois sous les drapeaux. Les temps de chaos sont toujours synonymes de viols, de pillages et d’abus. La violence fait intrinsèquement partie de l’être humain, mais elle est socialement inhibée par notre éducation et notre socialisation.

Regardez un groupe de jeunes enfants entre eux : sont-ils tendres et respectueux ? Oui, si ils sont cadrés par une autorité, non lorsqu’ils sont laissés libres de dicter la règle du plus fort.

Chacun d’entre nous possède donc sa part de violence, le plus souvent contenue, mais qui peut resurgir si nos repères (et les règles) sont détruits, ou si nous nous sentons agressés. Jusque dans une certaine limite il s’agit simplement d’un réflexe de défense.

Certains regroupements culturels, comme les extrémistes en tous genres, masquent derrière des idéaux, le droit au sadisme et à la très grande violence. Quasi tous les ouvrages religieux contiennent des vers ou des versets qui sont à proprement parlé très violents ou incitant au meurtre et à la punition (interprétables comme tels).

Voici quelques extraits de l’ancien testament :
"Alors l’assemblée envoya contre eux douze mille soldats, en leur donnant cette ordre : Allez, et frappez du tranchant de l’épée les habitants de Jabès en Galaad, avec les femmes et les enfants." (Juges 21 :10)
"Eh bien, maintenant, tuez tous les garçons et tuez toutes les femmes qui ont connu un homme dans l’étreinte conjugale. Mais toutes les fillettes qui n’ont pas connu l’étreinte conjugale, gardez-les en vie pour vous." (Nombres 31 : 17-18)
"Et ils tuèrent entièrement, par le tranchant de l'épée, tout ce qui était dans la ville, et homme et femme, et enfant et vieillard, les bœufs, les moutons et les ânes. Et Josué dit aux deux hommes qui avaient exploré le pays : Entrez dans la maison de la prostituée, et faites-en sortir la femme et tous ceux qui sont à elle, comme vous le lui avez juré." (Josué 6 :21)

Et quelques extraits du Coran :
"Les hommes sont les responsables des femmes (ont autorité sur elles), à cause de l'excellence d'entre eux qu'Allah a accordé, ainsi que de la dépense qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont celles qui sont dévotes, qui protègent, même ce qui est caché, ce qu'Allah a protégé. Et quant à celles dont vous craignez l'infidélité, exhortez-les, abandonnez-les dans leurs lits, et battez-les. Si elles viennent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles. Allah demeure, Haut, Grand, vraiment!" (qur’an/4.34)
"La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager et qui s'efforcent de semer le désordre sur la terre, c'est qu'ils soient exécutés, ou crucifiés, ou que leur soit coupée la main et la jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés de la terre: voilà pour eux l'ignominie d'ici-bas; et dans l'au-delà il y a pour eux un énorme châtiment" (qur’an/5.33)

Tous les idéaux politiques ont donné lieu à des purges et à des monstruosités qui salissent notre histoire.

Bref : Ils sont inévitables et font partie de nous.

Dans un groupe d’amis, ce sont les règles établies qui vous protégeront de ce type d’excès.  Les règles du groupe rassurent, soutiennent, cadrent. Pour protéger l’amitié et la confiance, il est donc indispensable de créer un cadre et de s’y tenir.

Concernant la menace extérieure, vous exercerez votre droit légitime à la défense, vous éviterez de prendre des risques, vous limiterez votre confiance avec prudence.

Les groupes survivalistes cachent aussi dans leurs rangs des hommes et des femmes qui justifient l’accès à la violence en tant que nécessité.


En conclusion

L’amitié et l’amour en général sont sans doute parmi les plus beaux sentiments de l’existence. Faciles à développer en temps de paix, ce sont des valeurs dérivantes lorsque le cadre devient flou.

L’amitié constitue un support privilégié de résilience en temps de chaos. Se passer de liens sociaux est impossible à un être humain normalement constitué ; mais notre nature sociale n’exclue pas les contre-valeurs de fragilité mentale, d’aptitude à la trahison et/ou de potentiel violent.

La constitution d’un réseau résilient, cadré et adaptable permet de conserver la joie inhérente à nos valeurs sociales tout en évitant les risques de déviation.

De tous temps, certains hommes et femmes exceptionnels ont donné leur vie pour en aider d’autres. Le survivaliste pêche souvent par excès d’individualisme et n’a pas pour vocation de tendre la main.
Mais si tendre la main avec intelligence était la véritable solution ?



83 commentaires:

  1. bonjour à tous.Excellent, sujets abordés sur l'amitié , la confiance, la traîtrise etc,etc,très vaste réflexion.C'est le domaine de la psychologie aie!La balance entre tous ces mots, pour moi n'existent pas.Maintenant ,essayer de dégager l'utile,ménager l'agréable sans trop le désigner,cacher mais pas trop,c'est déjà difficile en temps (presque )normal.Quand à se reporter dans les exemples des exactions des guerres passées,oui pour la base.Aujourd'hui ????En bref on peut passer des heures ,des nuits dans ces réflexions, sujet épineux qui nous met devant le miroir de notre conscience, de nos actes ponctuels et avenir "BIGRE".Elisabeth, Pierre, bravo pour l'article, , en conclusion,je me trouve devant un dilemme qui fait suite à vos propos dans ce contexte psycho: qui dit "plus il y a de gruyère, au plus il y a de trous.Hélas! plus il y a de trous .....moins il y a de gruyère"Oui , j'avoue ça va pas très loin, mais merci à vous sur ce sujet/ "Se faire les bonnes réflexions,et je pense garder son libre arbitre bien droit en soi"

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    1. Il n'y a pas de trou dans le gruyère ... mais dans l'emmental.
      (parole de Francais qu'a foutu le camp en Suisse !!!)
      seb

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  2. Toujours aussi clair.
    Toutefois, j'ai pris le parti de m'éloigner des "survivalistes" et du monde qu'ils souhaiteraient pour rentabiliser 25 années de matos high tech et de stockage effréné.
    Ce n'est pas parmi eux que j'ai trouvé la camaraderie nécessaire et encore moins la confiance.
    Attention avec la résistance: beaucoup de bandits avaient tout intérêt à rentrer en résistance pour fourguer des lots d'armes, empêcher les autorités de fouiner plus que de raison, se refaire une virginité en 44.
    Les "résistants" actuels, ils résistent à quoi? Je commence à reculer quand j'entends ce terme car beaucoup, effectivement, résistent à la discrétion, au courage et à l'honnêteté.
    Faire vivre les pires situations à son entourage et voir ce qui en ressort? Les pervers narcissiques sont très forts pour ça et moi, je me tire à toutes jambes face à ce genre d'individu.
    Pour les violents/cons/profiteurs, c'est un peu plus compliqué: un chef psychopathe attirera malgré tout du monde; Un type violent sera apte à remplir des taches que personne ne ferait (un vrai violent, hein, pas un Jacky qui cogne sa femme parce qu'il n'a que ça dans la vie); des fois, vaut mieux les avoir avec nous que contre. Souvent, la violence est ce qui manque le plus à nos civilisations finissantes, alors elle devient une denrée rare et donc désirée.

    Personnellement, je ne crois pas à une situation de combat, donc je préfère traiter avec une mamie qui sait faire des confitures et du pâté, une infirmière qui sait traiter les bobos et transmettre ce savoir et un type qui se débrouille en bâtiment.
    Pour les anciens commandos sous-mariniers parachutistes, les représentants des "vraies valeurs contre le déclin de la France éternelle", les prophètes du malheur et ceux "de notre côté", non merci, j'ai trop fréquenté ces gens-là.
    Cessons de nous comporter "que" comme des occidentaux et observons ce qu'il y a autour, voire chez nous.
    Cessons de nous comporter comme des DRH pour recruter la meilleure équipe car on ne choisira pas, on subira.

    Je suis très pessimiste quant à la tournure du survivalisme que je ne vois plus comme des gens prévoyants et laborieux, mais comme des gens peureux mais souhaitant le bordel pour prendre une revanche.
    cc

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    1. Très juste appréciation de la situation, suite à un article excellent et sans concession. Il y a de quoi réfléchir... Et s'interroger soi-même. En tout cas félicitations !

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    2. Bonjour CC ,des gens peureux ne "prendront pas de revanche" même si ils en rêvent,les mêmes défauts qui les limitent en temps de paix seront multipliés par 10 en cas de ko

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    3. Cher Janus2a,
      Dénoncer au fisc un voisin qui a une grosse voiture quand le bon moment arrive n'est qu'un exemple de petitesse qui tourne en revanche.
      Les gens prévoyants auront à se méfier des cafards qui ne font qu'observer mais dont la parole arrive justement aux bonnes oreilles.
      Croyez au nombre de bons collabos qui vous traiteront de fasciste islamophobe au bon moment, puisque votre mode de vie intriguera plus d'un pékin.
      Bref des gens peureux qu'une oreille complaisante aura fini par écouter.
      cc

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  3. Bonjour Elisabeth, long time no read!

    Amitié, confiance et survie?

    Je fais passer d'abord la collaboration/coopération et je suis prêt, modestement, à "payer pour voir" comment mon prochain se conduit: comment il prend, comment il rend.
    Autant de tests.
    Tant que ça marche ça va et ça progresse, c'est sympa d'avoir des potes.

    Si/quand mon prochain trébuche ( pas s'étale comme un grosse m... dégueu ) dans la relation, je me pose des question sur ce que j'en attends et ce que je peux pardonner/accepter comme faiblesse et si cela nuit à la confiance.

    Et au détour du temps qui passe il arrive que tu découvres et comprends que "d'autres" sont dans la même démarche d'équilibre et de respect et que tu peux aussi être choisi. Ce sont des moments de prise de conscience assez amusants et de belles occasions d'offrir la confiance et de gagner du temps.

    Je parie sur la coopération bien comprise.

    Les cigales, quant à elles, ont du souci à se faire, rien ne leur sera gratuit, il leur faudra marner durement ou crever, changement d'époque oblige. Idem pour les trouducs.

    Faire la charité c'est différent.
    http://philo.pourtous.free.fr/Atelier/Textes/charite.htm

    La violence, la trahison, s'il y a, viendront plus tard et il est probable que la réponse soit la même.

    Laurent

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    1. entièrement d'accord Laurent,la confiance ne se découpe pas en rondelles comme la rosette de Lyon,aussi il faut se fortifier une puissance d'esprit pour pouvoir résister aux malheurs soudains et avoir la capacité de s'ouvrir aux autres;la vie est un risque ,la confiance en fait partie ce qui n'exclu pas le discernement,c'est comme à la bourse ,on ne joue que ce que l'on est pret à perdre et n'oubliez pas qu'il n'y a pas de vraie grandeur sans pardon pour ceux qui se sont trompés.cordialement à tous

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  4. Bonjour,

    article intéressant, même si je n'aime pas trop le mot "Résistance", dont le mythe a été élaboré par les Gaullistes précisément pour absoudre de leurs crimes nombre de salopards qui s'en revendiquaient - et pour lesquels je n'ai aucune estime. L'épuration sauvage a montré que de nombreux sauvages l'animaient, et je ne trouve guère plus reluisants ceux qui dénonçaient les "collabos" en 44 (terme galvaudé car on comptait de nombreux collabos de Moscou dans la Résistance auto-proclamée, sans compter les collabos des yankees), par jalousie, sadisme, ou pour s'accaparer leurs biens... S'en revendiquer aujourd'hui n'atteste d'aucun courage. C'est toujours plus facile. Et çà rapporte plus gros. Quant aux tondeurs de filles (voire violeurs et assassins), ils n'avaient sûrement rien à envier aux pires d'en face. L'exemple du martyr de la superbe actrice Mireille Balin, par des ordures FFI, suffit à le démontrer.

    L'un dans l'autre, il n'est pas sûr qu'un nouveau Saint Empire romain germanique n'ait été encore préférable à une Europe islamique du futur...

    Les survivalistes d'aujourd'hui ont évidemment d'autres problèmes à résoudre, dans un environnement radicalement différent, où les jugements non programmés peuvent encore se différencier. Je pense pour ma part que l'Europe n'est pas née après-guerre, elle est morte en 1945. Et sans doute définitivement. Nous raisonnons donc aujourd'hui au temps de la fin d'une civilisation plus que de sa Renaissance ; de la retraite plus que de la Reconquista. Aucune épopée n'est plus en vue. Il s'agit de se maintenir à flots dans une mer agitée, et presque seuls. Donc, les amis vont compter, mais il y aura encore moins de camarades qu'autrefois. Parce qu'il y a moins de doctrine, et moins d'expériences. Parce que les esprits sont encore plus fragiles, les tempéraments plus individualistes, égoïstes et utilitaristes.

    Cordialement
    personne

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  5. Le soit disant amour n'est qu'une illusion, aimer c'est "j'ai besoin de toi" quant à l'amitié elle est source de corruption, c'est un cadeau empoisonné. Rêver, ah ça, vous savez faire.

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    1. Pourquoi tant d'amertume ? Aimer, nouer des amitiés, rêver, admirer, se pénétrer d'un idéal, créer, tout ce qui distingue l'homme de l'animal. Alors quoi? Survivre par égoïsme, parce qu'on est trop lâche pour accepter de mourir ? Voilà qui est une illusion, car toujours le temps vous attendra au rendez-vous qu'il aura fixé, malgré tous les subterfuges de la peur.
      Ce qui fait la grandeur de l'homme est précisément son don d'amour et d'amitié. Pour ce qui est de la force, les animaux dépassent les humains - et même pour survivre. Le point en commun est qu'ils disparaîtront, seulement plus vite, seulement plus durement les uns que les autres. La trace de lumière qu'ils laisseront à d'autres poursuivra leurs cheminements. Ce que les animaux n'enregistrent pas dans leur mémoire. L'homme meure, l'animal crève. C'est pour cela qu'il demeure.

      personne

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    2. l'amitié et l'amour ne sont surtout pas un rêve mais un travail de tous les instants qui permet d'entretenir des liens privilégiés.
      Méfiance avec celui qui n'a pas d'amis: il ne sait pas les retenir ou il les trahit à un moment.
      cc

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    3. Bonjour CC

      Effectivement, l'amitié s'entretient, se stimule, s'accompagne et se partage. C'est pourquoi elle est si difficile. Elle naît par l'épreuve commune, ou par la durée de la relation. Mais la vie moderne, passés trente années, la rend particulièrement rare, parce que nous avons souvent à quitter notre région, à refaire notre vie ailleurs. Et la géographie marque la distance d'amitié, jusqu'à son extinction. Il est de même de l'amour, voire de la famille. Une certaine stabilité lui est nécessaire, condition de son entretien. Le survivalisme traite le plus souvent de l'obligation de quitter son endroit, et donc de briser ses amitiés. Pus on vieillit, plus l'amitié se fractionne, se conditionne et se perd. Plus on vieillit, plus ses relations se renferment, par le couple, les enfants, le métier, les habitudes... A chaque fois, il faut reprendre son ouvrage.

      personne

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  6. Enfin un article humoristique, yak-yak-yak !

    Je ne résiste pas. Devant nous une merde apocalyptique sans parler de ce temps de cochon qui a fait geler ma belle-mère que j'avais envoyé à la pêche sous marine dans le Rhin afin de la préparer aux torquémadesques temps à venir, et voilà qu'il ne manquait plus que ça : Amitié et confiance !...

    Deux moyens certains de finir mourru par derrière avant même d'avoir la chance de voir enfin la troisième guerre mondiale faire pleuvoir ses bombes thermonucléaires sur la Cayenne à crédit de mon crétin de voisin boboïsé....








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    1. @ Riesling arrosant sans retenue silure à la provençale et jus de mèmère.

      Je pense que bien que ta belle doche t'obsède, depuis le temps que, sans succès apparemment, tu essaies soit de la refourguer à un gitan borgne et hargneux mais amoureux de ce genre d'engeance soit de l'empoisonner et de la noyer (dernière tentative infructueuse) dans un fleuve aux effluves teutonnes.
      Cela aurait du suffire mais non, en vérité, ta compassion du gender humain représenté ici par cet semi animal/humain vil et sournois, chafouin et mauvais comme la gale dépasse ton entendement et encore tu la fais vivre. Galopin va!

      Serait-elle morte écrasée par un camion ... qu'encore tu chérirais son souvenir en nous la faisant survivre dans tes remords de n'avoir pas su dire "je t'aime" à belle maman avant qu'une apocalypse au rabais ne nous entraine.

      Je t'ai démasqué, ça t'en bouche un coin hein!

      Avec toute mon amitié

      Laurent


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    2. Cela faisait de longs mois que, ne voyant plus ta prose débordant d'esprit comme comme un cornet de chivaleros mexicains frits au piment rouge du pérou, que je me mis a porter le deuil comme l'on porte religieusement une caisse de château Fieuzal à la cave, à savoir avec ce petit espoir invincible de regouter un jour prochain aux enivrantes fragrances consolatrices des vicissitudes humaines qu'il nous est donné de relever en ce bas monde.

      Ainsi donc oui Laurent, mille fois as-tu raison ! Tu en est la preuve vivante tout autant que j'en suis la démonstration vacillante : la foi et l'amitié existent, mais, à l'instar de ta belle doche ils sont à consommer avec modération, c'est ce que je puis dire sur le sujet...

      Bien le bonjour également au passage à Elizabeth que j'imaginais également morte, dévorée par ses chiens ou chèvres faméliques... :)

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  7. bonjour à tous. Oui Seb le gruyère,pas de trous.je pose souvent cette ÉNIGME" qui n'en est pas une.J'attends toujours une réponse de la part de mon interlocuteur, et magie des mots, quand tu nous tiens:rien, là commence le jeu.j'ai écrit un cahier complet de pseudos réponses .Certes c'est rigolo, et moi aussi je me suis fait piéger, mais je reviens sur le plus sérieux.Je viens de lire et relire chacun de vos exposés sur ce sujet très complexe.L'amitié, la Confiance, et son antagoniste:"La "Traîtrise", l'Amour.Si ce monde en décrépitude a fait rendre obsolète l'essentiel,être survivaliste, méfiant ,violent, bisou-calin, dieu ..... et autre jésus rédempteur, et j'en passe.C'est très très complexe à se situer dans ce contexte.Pour moi toutes idées ,appréciations, réflexions sont toujours positives.compare les faits du passé, pour mieu anticiper le présent oui.Ce présent qui fait et fera notre avenir, de la façon dont ce passe les choses, la référence de ce passé et largement grignoté,corrompu, depuis toujours,une minorité qui nous tond ah!ça continu, avoir de l'empathie, certes.En bref ai-je tord? peut être, toutes nos idées négatives, positives les traîtres les amis (plus où moins faux)les soumis(peuvent être les plus dangereux?)CC la méfiance d'un individu qui ne sait pas retenir une amitié n'est pas pour autant un traître caché.A-t-il trouvé ailleurs ....je ne peux l’affirmer.
    Elisabeth, je suis aussi en accord avec Laurent,personnellement je vous pose cette question: "C'est quoi l'amour dans un milieu totalement à l’envers, l'amour au sens le plus large possible évidement".Quand à ceux qui ont donné leurs vies pour un monde meilleur, les cimetières en sont pleins.Ne soyons pas égoïste, y pas que le grands qui ont droit aux lauriers, des million de croix ou autres symboles remplissent des hectares de terrain, pour dire aux populations avenir :PLUS JAMAIS ça...!!??Si l'amour de son prochain n'a d'égal que le nombre de morts pour cet amour?La je parle de l'amour plus ou moins universel.La où le bas blesse profondément, cet amour affectif tellement bousculé sali par des comportements ignobles et j'en passe, il faudrait peut être avoir des réponses par des femmes, surtout des femmes, qu'elles prennent des pseudos bidons mais féminin. Ça n'engage que moi.Bref ,Elisabeth très bon sujet à réflexion, j’espère en avoir d'autres de vous, et aussi Mr Templar encore merci à vous.
    Une fois de plus je m'en tiendrai à mon libre arbitre, car il est plus facile de dire:"Si je t'avais pas écouté, etc, etc, j'en serai pas là"donc en toute modestie , je garderai mon libre arbitre, ne serait-ce que pour ma conscience, si petite sera-t-elle en ces moments durs.

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    1. L'amour, sait-on vraiment lorsqu'on est touché ? Atteint ? Perso, je sais que je ne sais pas ou peu. Mais je crois savoir que j'aime mes enfants et je donnerais sans souci ma pauvre vie terrestre pour eux :) - Elizabeth

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  8. Merci pour l'article intéressant qui prête à réflexion. Ceci dit, il n'y a que moi que ça interloque en Sherlock, la caricature Jésus/Moise/Mahomet qui sent de prime abord son lobby (utilisant la bienpensance totalitaire et dictatoriale qui refait l'histoire pour manipuler l’avenir) à plein nez? Finalement il y a 3 niveaux de lecture. Le titre amène un troisième degré assurément? Dans ce cas là si l'ordre est bon, je comprends le casseur et le violeur, mais bon, le premier à gauche n'est pas responsable du pillage commis par les PDG suivants qui ont fait un holdup sur sa start-up après lui, juste pour des sous tannés par les cals des paysans... Parce cette caricature au premier degré, à moins que Jésus soit complètement torché au gros rouge imaginaire de Cana, car là tout le monde est pote et un peu aveugle, jamais il n'aurait parlé d'amour et de lumière pour qualifier les idées rances des deux autres. D'ailleurs si on fait un nouveau testament, c'est parce qu'on s'est gouré dans l'ancien, dirait l’honnête Béru. Au second degré Jésus serait ironique et taquin mais les yeux pleins de larmes tout de même? Et pour les grincheux s'il y a, je dirai simplement que, vu que les médias ces temps-ci nous rabattent les oreilles sur les yeux avec tant l’amour et la lumière de certaine religion, jusqu’à ivoire tout noir, sachant lire, je suis content d’avoir lu pas mal de choses ces 20 dernières années sur ces trois religions. Donc pas de promo please. D'ailleurs le débat qu'Elizabeth nous propose en toile de fond de ses conseils avisés, n'est-il pas, en fait, vieux comme Hérode ? Car la société s’érode aussi. Zut je viens de comprendre le pourquoi subliminal de cette caricature ; en fait il y a 3 points de vue théoriques possibles et bien différents concernant l’attitude à avoir en K2KK… et pas que. Désolé d’avoir été lent à la détente. Mais mieux vaut ici que dehors demain peut-être, non ? Ou pas.
    De Lorraine

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  9. Bon au vu de toute la merde qui va deverser sur notre sol il va falloir prendre sérieusement les bonnes décisions je plains les bobos qui de par leur énorme connerie vont se prendre leur boomerang et leur choix dans la face ca va leur faire tout bizarre bah oui mais au bout d un moment faut arrêter d etre con :)

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  10. A la lecture de très nombreux commentaires lus sur les différents thèmes, je m'aperçois de plus en plus que, par delà ma précédente catégorisation des survivalistes et populations (templiers, Robinsons, victimes...), il existe, même ici (quel dommage !), une autre forme de distinction :

    Ceux qui ne veulent que faire survivre leur corps (on se demande bien pourquoi...), en étant prêts à renier l'âme et l'esprit (à supposer qu'ils en aient jamais eus...), et ceux qui désirent, malgré tout, préserver leur âme et leur esprit, tout en faisant tout pour faire survivre le corps.

    Les premiers cherchent à capter uniquement des techniques de manière égoïste ; les seconds, à les apprendre aussi mais pour perpétuer des valeurs, et continuer à transmettre quelque chose qui ait un sens supérieur à la simple survie.

    Quant aux premiers (pour qui le reste n'est que littérature), je ne vois pas trop, au final, ce qui les distingue des racailles et autres psychopathes qui pullulent à foison. De cette vermine qui nous pourrit la vie et rend stérile des millénaires de civilisation. Autrement dit, je ne suis pas loin, également, à les considérer comme des nuisibles.

    En terme d'amitiés, les psychopathes auront le nombre, mais prêts à les poignarder dans le dos, au moindre choix utilitaire. Les seconds en auront peu, mais de solides.

    L'avenir, bien sûr, se chargera de réorganiser les rêves, les fantasmes, et les destins authentiques...

    personnne

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    1. Il en est des survivalistes comme des autres hommes ,la répartition Gaussiènne est là aussi de mise (loi de Pareto ou Wilson au choix ou 20/80)les 80 veulent survivre pas seulement pour remplir un estomac et c'est la grande majorité de ceux de ce blog avec leurs valeurs parfois différentes , mais pas aussi éloignées les unes des autres que ce qui transparait en quelques lignes.pourquoi s'étonner qu'il n'y ait pas que des saints dans le survivalisme et pas non plus quelques opportunistes ? ? c'est aussi utopique que le zéro défaut ou que d'un coup de pshitt on éliminera tout les moustiques (il en reste toujours un derrière le rideau pour vous égayer la nuit)Survivre c'est essayer de continuer a donner un sens à la vie et a sa vie le reste c'est de la litérature

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    2. Bonjour personne,

      Pour faire une peu de littérature française, littérature qui d’après Ch. Seignobos, « Hist. sincère de la nation franç., p. 4. ;-) est emprunte d’un caractère universel, je rejoins votre point de vue quant à cette dichotomie que l’on peut observer dans le milieu « survivaliste «.

      Dommage, une division de plus.

      Christophe (13/05/78)

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  11. Si notre désir est seulement de survivre, d'améliorer nos affaires comme nos moyens de défense, qu'est-ce qui nous distingue en effet de la crapule ordinaire (du bas jusqu'en haut), dont le seul fantasme de réussite n'est que la frime en grosse cylindrée, accompagné de jolies péripatéticiennes au neurone en veilleuse, les bagues au doigt et la musique débile à fonds, une ribambelle de larves au regard torve et ricaneur à la chaîne, qui rotent en guise de prose ? Sauf la discrétion, bien sûr...?

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    1. Le moment du grand déclenchement il faudra être Bien pire que sinon nul d entre nous survivra car ils sont passés bien au delà de la barbarie ._._.

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    2. https://www.youtube.com/watch?v=ygMzsm-7mtc
      Le petit patriote que j avais posté pense exactement comme nous mdr

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  12. Prenons le cas d'un dealer de quartier, du simple voyou ou de son caïd. Il n'a ni foi ni loi. Il respecte les seules lois de son clan, voire de sa famille. Il est opportuniste et se saisit de tout ce qui sert ses intérêts. Il s'est habitué aux dangers, cultive le goût des armes et n'hésite pas à s'en servir. Il a développé le sens de l'observation. Il connait les moindres recoins de sa zone d'existence et de profits, il sait s'y orienter, où retrouver ses potes et avec qui négocier. Il a même appris à troquer, voire à fabriquer des carburants impossibles. En son genre, il peut être chimiste... Que la police n'intervienne pas ou qu'elle n'existe plus, quelle différence ? Certains attendent peut-être que le monde bascule pour basculer avec lui...

    Pour certains survivalistes, cela en ferait un pionnier, un visionnaire ? Est-ce donc à cela que nous voudrions ressembler ? N'avons-nous pas encore à apprendre des mondes chevaleresques, plus que de ces rats d'égouts ? Les rats aussi, en ce qui concerne l survie, pourraient nous en apprendre, et les insectes aussi. Mais il va falloir choisir. Et se blinder aussi le coeur et l'esprit, dans le respect de leur nature et de leur culture.

    personne

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  13. Quelle société pourrie regardez https://www.youtube.com/watch?v=3LObFGwSLHY

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  14. Excellente vidéo
    https://www.youtube.com/watch?v=QRVtV0llsy4

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  15. Bonjour à tous et joyeux printemps. Merci Elisabeth pour ce texte nous incitant à moultes reflexions. c'est un merci sincère et je n'ai rien contre vous, mais je dis beurk, beurk, beurk...C'est de la masturbation de psychologues athées qui ne parviennent pas à sortir de leurs livres de psycho et qui ne comprennent rien du tout, tout en étant persuadé du contraire; et je m'y connais, je n'ai rencontré que des consoeurs de ce type autour de moi...
    Je serais bref, mais les plus "beaux sentiments humains,l'amour et l'amitié" c'est - pour rester poli- de l'onanisme, même pas hispanique!ce sont des sentiments aléatoires, superficiels sujets à toutes sortes d'interférences et de variations, potentiellements perturbés par l'égo, les hormones, le mental, la peur, etc... Mourir pour vos enfants? biensur! Vous connaissez un animal, une femelle qui ne se battrait corps et âme jusqu'à la mort pour sauver sa progéniture? donc rien d'humain à cela.
    La seule chose qui soit spécifiquement humain c'est le libre arbitre et entre autres conséquences la tentative de l'Amour pour notre seigneur Jésus et rien d'autre. car aimer ses enfants ou avoir un bon compagnons de route c'est donner à tout le monde et cela se fait tout seul, ce n'est pas nécessairement un choix éclairé; et d'ailleurs c'est pour cela aussi que cela peut tourner en eau de boudin en unrien de temps.
    Cette 'Queste' de l'Amour est un sentiment bien plus constant et plus solide même si des moments de doutes surviennent assurrément. En disant cela, je ne suis pas un bisounours; Jésus lui même disais qu'il fallait donner à son ennemi ce qu'il méritait. Notre bon Roi Saint Louis l'avait parfaitement compris en imposant la rouelle ( ou la rosace, je ne sais plus) et en séparant de son épée les antités malignes par centaines. Revenez Saint Louis, nous aurons grandement besoins de votre force d'Äme...
    Si vous ne cherchez pas à vous aligner sur ce sentiment supérieur alors tous les écueils seront possibles en l'occurrence durant "la belle saison" à venir. Etre relié au Seigneur de son Âme ou pour dire autrement les choses, dans notre alignement intérieur (Terre, couilles,coeur,esprit, Ciel), ou encore dans son hara (ligne harique)est la seule ligne à tenir - sans jeux de mots- Et dans tout cela, il y-a la place pour la testostérone, l'agressivité, la combativité, la conscience de situation et si vous le souhaitez aussi l'amour et l'amitié.Mais ne vous y trompez pas, le seigneur de votre Âme est indispensable;tout athéisme ou laïcisme est satanique. Ne pas être Chrétien dans l'âme pour nous autres c'est laisser une place vide, et vous savez que la nature a horreur du vide; et savez vous qui si instale alors? Celui qui fait croire qu'il n'existe pas...
    Dernière chose/vous parlez de haine des textes religieux, mais vous n'avez choisis que l'ancien testament et le coran. je vous mets au défit de trouver une parole de haine dans le nouveau testament. Et oui, à Lourdes il n'y a pas de viols ni de meurtres mais que des miracles. aA la mecque il n'ya que des viols,enlèvements et meurtres sans miracles. Quant aux fêtes juives ce ne sont que guerres et massacres qui sont commémorés... Notre calendrier,que des Saint et Martyres...
    Bougies,poèmes et peluches.
    Ivan

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    1. Salut à tous et merci Ivan pour ton post ! Je n'avais pas encore trouvé le temps de répondre à cet article intéressant (merci Elizabeth ) mais par trop caricatural et tes mots ont très justement exprimés le fond de ma pensée ! Mes amis (les vrais) je les appelle mes frères sous le regard de notre Père. J'ai confiance en cet Amour fraternel qui nous unit et je sais qu'aucun ne me plantera de couteau dans le dos en cas de chaos. D'autre part, saint Paul disait justement "s'il me manque l'Amour, je ne suis rien !" Personnellement sans Amour (de Dieu, de ma famille et de mes frères), je ne saurais ni ne voudrais survivre... En effet je pense que nous avons tous des raisons plus ou moins morales ou éthiques qui nous maintiennent en vie ou nous font grandir au quotidien. Si plus de raisons, soit on en trouve d'autres, soit...
      Dieu vous bénisse et vous garde toutes et tous !

      François mari et père

      PS Pierre, j'aurais voulu te contacter personnellement sur les conseils de Janus2 mais je ne trouve pas ton adresse ! Pourrais-tu l'afficher en réponse à mon post stp ?! D'avance merci !

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    2. Salut Ivan,

      je ne suis pas sûr de bien vous comprendre. Le message d'Elisabeth pour moi ne prône pas un amour béat au contraire.

      Et comment justifier l'aggressivité (justifiée comme sorte d'énergie passant par les couilles, si je comprend bien), la critiquer chez les barbhus et se féliciter d'avoir des chrétiens adeptes des bougies ?

      On ne peut pas prendre que ce qui nous arrange, des valeurs ça s'applique en toutes circontances. C'est d'ailleurs à ça qu'on voit qu'elles marchent ou non.

      Ender

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  16. Bonjour Elizabeth.
    Joli texte.
    Quelques réflexions après lecture.
    Un groupe d'amis sera t il un groupe de survivalistes ? Avant le cahos , peut être. Après le cahos , plus certainement mais non certain, car composé des survivants.
    Un groupe de survivalistes survivants peut il devenir un groupe d'amis ? Nécessite fera loi.
    Nécessite des compétences fera loi, aussi.
    Le cousin Hubert , paysan du Limousin , on choisit ses amis pas sa famille. De plus les histoires de famille ont nourri la littérature ces derniers Siècles.
    Donner sa vie pour ses enfants certes mais se débrouiller pour continuer à les accompagner pour leur permettre de devenir des " hommes " et se "demerder " a ce moment là.....me semble Preferable.
    Le cahos sera le meilleur dès crash test.
    9 repas nous séparent de la barbarie nous a t' on dit alors , en conséquence la priorité est de fournir, D'ABORD, les 9 repas pour avoir l'opportunité de continuer à cultiver nos valeurs, étager les priorités, savoir prendre la bonne décision dirais je ....
    La confiance des autres se gagne se mérite au fil de nos actions . On peut la prêter pour avoir un rendu aussi. Le service de sécurité des groupes de résistants mettait sous observation les nouveaux arrivants .
    La violence , la vraie sans états d'âmes, est réservée au combat pour survivre. Le survivaliste par nécessité optera pour l'évitement plutôt que l'affrontement car ce ne sera pas un résistant ni un combattant sous uniforme alors , je ne crois pas à la survie de nos sociétés . Pessimisme, réalisme, disparition des sources d'énergie qui ont permis notre essor technologique, changements climatiques, etc, etc, le résultat sera la .
    Tendre la main avec intelligence. Ce peut être le DÉBUT d' une solution , après faites vos jeux...
    J'ai noté que les candidats possibles pour devenir des amis ou supposés tels , sont souvent mais pas toujours , ceux avec lesquels le premier contact est " électrique " . L'évolution de la vie du groupe et la transformation des rapports entre ses membres.
    Un proche plutôt qu'un ami , à la différence d'autrui , c'est celui à qui on pardonne, effectivement. A un proche , membre du groupe, à lui de se faire pardonner par le groupe.....
    Le traitre me posera probleme en ces temps de cahos . Celui qui aura vraiment trahi le groupe en mettant sa survie en jeu, éventuellement avec du sang sur les mains ou bien juste contrevenu aux règles du groupe qui formeront son cadre. Le bannir du groupe sera peut être une solution . Tout en l'exposant à une realite riche en souffrances lentes etinexorables. Qu'exigera la compassion alors ?
    La nécessite du moment au regard de l'acte commis fera loi.
    La vie offre à l'individu des possibilités de s'épanouir lui même , seul , puis de mettre cela a profit dans la vie de groupe, au profit du groupe, l'inverse , j'ai de sérieux doutes.
    L'enseignement de St Augustin ( de mémoire ) préconisait de s'anéantir dans l'obéissance, not my cup of tea...
    CDLT.
    Vianney.

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  17. Bonsoir,

    Je ne cautionne pas non plus le texte d'Elisabeth, tant les références à la soi-disant Résistance française me paraît source de malentendus. Il y avait beaucoup de salopards en son sein, nombre d'entre eux sont loin d'avoir été des modèles héroïques, et l'on a même vu y participer, par intérêt, la plupart de ceux qui ont constitué la pègre de Marseille (mafia corse notamment). Les références contre le nazisme ou le pétainisme sont faciles aussi, des relents du procès des vainqueurs, sans nuance. N'oublions pas que Tonton Mitterrand y eut son heure de gloire également, et sa francisque. Et que si De Gaulle avait été accepté dans le gouvernement d'armistice de Pétain (il y fut refusé à quelques voix seulement), lui même n'aurait pas commencé quelques jours plus tard par sa désertion et l'appui d'un avion affrété par l'Intelligence Service, à légender sa légende un certain 18 Juin 1940...

    Cet aspect historique rappelé, je note aussi qu'on ne peut amalgamer les traîtres (de toute nature, y compris fausses, car sous l'effet de groupe, et d'agents d'influence dominants dans une situation catastrophique, la paranoïa peut vite augmenter et la liquidation des gêneurs prévaloir...) et les cigales auxquels il est aussi souvent facile d'en vouloir, parce qu'ils ont eu tort d'être jeunes, optimistes, et non épargnants, loin du mental aussi des radins, des avares. Qui dira si ceux-là ne vont pas se révéler plus dangereux encore le moment venu, par égoïsme et mesquinerie ?

    Certains l'ont dit, le pardon est juste. L'ennemi n'est pas celui-là. Ivan l'a dit à sa manière mais fort justement : la transcendance est aussi indispensable que le discernement. Dans l'amitié, le respect du silence de l'autre peut conduire à l'intelligence. Ceux qui ont beaucoup marché seuls savent aussi les vertus de la solitude, qui permet de s'ouvrir aux mondes jusque à la transcendance. Au bout de deux heures en forêt seul en montagne avec un sac chargé, on commence à réveiller son corps et son esprit. J'aime écrire, mais je parle de moins en moins, tant j'entends brailler autour des phrases dénuées de tout sens. Celui qui n'est pas capable de rester au moins une journée sans dire un mot n'a en réalité pas grand chose à dire. L'acte se nourrit de l'intériorité. L'amitié consiste à savoir accompagner l'autre, mais à l'entendre aussi, ou le laisser libre sans le gêner, jusque dans ses silences.

    personne

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    1. Au lieu d'écrire des conneries revisez les faits avant !!

      De Gaulle en tant que sous secretaire d'état à la défense nationale du gouvernant Paul Reynaud a effectué deux voyages à Londres et en est rentré à bord de l'avion personnel de Winston Churchill pour rendre compte à son gouvernement réfugié à Bordeaux.

      Il est retourné à Londres avec ce même avion sur ordre de Paul Reynaud ET avec le solde des fonds secrets de ce dernier quelques heures AVANT la prise de fonction du gouvernement Pétain.

      Une fois à Londres il est devenu par la force des choses le dernier représentant du dernier gouvernement libre de la république et malgré ses appels aucun homme politique de valeur n'est venu le rejoindre. Bien au contraire nombreux sont ceux qui ont fuit l'Angleterre soit vers la France soit vers les USA.

      Conformément aux règlements militaires ,en tant que le plus ancien dans le grade le plus élevé ( du dernier gouvernement libre) il a assumé le commandement.

      Même si vous n'êtes pas d'accord avec lui ayez au moins l'honnêteté de ne pas le diffamer en parlant de désertion .

      L'opinion du colonel Remy du BCRA après la guerre a été que DeGaulle a tenu l'épée de la France pendant que Petain tenait le bouclier. Ce qui lui a valu de se facher avec De Gaulle.

      Pétain qui avec sa politique de collaboration faisait en deux mois ce qu'un gouvernement militaire allemand aurait fait en deux semaines et la gestapo en deux jours.
      Pétain qui a laissé s'organiser la résistance en zone libre et donc beaucoup de maquis en 1944 le reconnaissait pour chef. L'ORA l'organisation de resistance de l'armée s'est créer avant même la demande d'armistice pour cacher armes et munitions et dissimuler des troupes de valeurs.

      Pétain qui n'a pas eu la possibilité d'utiliser pour se défendre lors de son procès d'un document qui valait TOUT les certificats de résistance imaginables : la lettre de rupture des relations diplomatiques envoyée en aout 44 par Hitler énumérant toutes les "trahisons" de Pétain envers le 3eme reich.


      21000dijon

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    2. Le propre d'un homme d'état est de sauver l'état, pas ses amis si ceux -ci vont a l'encontre des interets dudit état.merci de remettre les pendules à l'heure concernant de Gaulle et Pétain.La fin des colonies était inéluctable vu la façon dont elle avait commencé,il faut reconnaitre que les Anglais se sont bien mieux débrouillés avec leurs dominions , allant jusqu'a leur faire adopter par les colonisés leurs us et coutumes tels que le cricket et the nice cup of tee.l'homme est faillible ,nous tous tant que nous sommes,il faut donc savoir accepter les défauts des uns et des autres à partir du moment ou ils n'entrainent pas la destruction de la communauté de destin qui peut nous réunir,Hawkins récemment décédé disais "en fait , sans l'amour de ses proches et la capacité d'aimer, l'existence de l'homme n'a aucun intérét ni justification" Alors l'histoire suivra son cours,alliances,trahisons ,douleurs et joies,souhaitons a tous de se trouver dans le bon bateau qui va vers l'inconnu et un futur qui sera ce que nous en ferons

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    3. Ben voyons... Quant à la débrouillardise bien plus compatissante des Anglais... Admirons leur jeu de cricket en 1956 au Kenya : score : cent mille Mau-Mau environ liquidés, trois cent mille Kikuyus internés. Sans doute les us et coutumes du pays...
      Tous les peuples se ressemblent dans la débrouillardise...
      Ce sont les personnes qui font la différence.

      personne

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  18. Petite musique d ambiance pour nous motiver :)
    https://www.youtube.com/watch?v=MPjy55Y6hWU

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  19. Merci de nous adjoindre cette petite musique de Carl Orff, dont l'école de danse et de musique (la Günther-schule, avec la chorégraphe Dorothée Günther) a été bombardée, rasée par les alliés en 1945... Toujours au nom de la civilisation contre la Kultur, paraît-il... Une suite à 1870, encore une...

    La citation précédente qui mentionne le Colonel Remy me satisfait en partie puisque celui-ci, que j'estime comme faisant partie des bons résistants (et dont je possède un ouvrage dédicacé - catéchisme de la Patrie - à mon propre père, au nom de leur alliance intellectuelle et de leur commun durant la période du début des années 1960) est l'exemple type de la confusion des sentiments et de l'amitié même qui lièrent De Gaulle à nombre de ses compagnons, et qui le redécouvrirent tel qu'en lui-même 20 ans plus tard. Mais il était trop tard... Pétain, Rémy, Soustelle et tant d'autres. Lire "vingt ans de Gaullisme" de Jacques Soustelle (anciennement lié au BCRA aussi) est très instructif à cet égard. Tout le monde le sait : Ce "grand homme" les avait tous "compris". Tous les autres un peu moins... Les harkis pas du tout.

    De Gaulle, la trahison et l'amitié, vaste débat. Si un tel "grand" homme a pu agir ainsi, et tromper tant d'entourages (dont pratiquement tous ceux qui l'on aidé à prendre le pouvoir en 58, n'est-ce pas Roger Trinquier... jusqu'à tout l'Empire français qu'il a divisé par 20, le rappelle son ancien camarade Soustelle) que nous attend-il, nous autres les petits...

    personne

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    1. L'empire colonial français a été voulu et organisé par les républicains après 1871, autrement dit les socialistes.
      Et contre l'avis de l'opposition royaliste de l'époque, autrement dit l'extrême droite, qui y voyait un gouffre financier nuisible aux intérêts de la France.

      De 1940 à 1945 , De Gaulle a passé son temps a contré les magouilles de Roosevelt pour détruire cet empire et celles de Churchill pour le voler.
      De 1946 à 1958 la 4eme république ( socialiste ) a finie de détruire cet empire en ruinant la France. Il restait de quoi payer huit jours d'importation dans les caisses quand De Gaulle a été rappelé pour former un gouvernement. Il a posé ses conditions qui ont été acceptées.

      Il a procédé à la décolonisation comme cela avait été recommandé par les généraux Leclerc et De Lattre dès 1945-46.

      Ce sont encore les socialistes qui ont envoyé le contingent en Algérie pour maintenir l'ordre et autoriser la torture. Il n'y a pas plus couille molle qu'un officier français vis à vis du pouvoir politique . Si Mitterrand ministre de l'intérieur avait interdit l'usage de la torture il n'y en aurait pas eu !!!

      Tout cela pour dire que amour et amitiés en cas de chaos .... C'est de la bisounourserie format XXXXL.

      21000dijon

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    2. Ne confondez pas les comportements d'états et leurs chefs avec ceux d'un couple, d'une famille,d'un clan ou d'un groupe humain plus important ;un état a dans ses obligations régaliennes de base la protection ,la justice etc etc etc ,une fois remplies celles-ci font que les premiers nommés ont la chance et le luxe d'avoir si ils le désirent des relations d'amitiés et d'amour ,ce sont des comportements d'individus des choix indiscutables au sens premier du terme,pour le reste Dijon complètement d'accord

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    3. C'est une façon de voir les choses. Permettez-moi de ne pas y croire. C'est tout de même incroyable qu'après tant d'années, et tant de faits avérés, on nous resserve encore ce mythe du "sauveur de la France" (ne l'était-il pas déjà pour Pétain après la première guerre mondiale ?). Du temps de son vivant, on hésitait moins à le critiquer. Surtout ses anciens amis (sic) qui l'avaient connu de près. J'en ai cités quelques-uns, j'aurais pu ajouter Georges Bidault, le grand romancier Pierre Nord, et tant d'autres.

      Même les bouddhistes ont ce mot : "si tu croises sur ton chemin d'éveil le Bouddha, tue-le !" Alors, pour beaucoup moins...
      Je n'ai jamais compris cette obséquiosité contemporaine, De Gaulle méprisait tout le monde : les civils, les militaires, les juifs, les arabes, les allemands, les anglais, les américains... Tout le monde sauf lui. Qu'il ait cherché à sauver les meubles après avoir concouru à détruire la maison, peut-être. Il s'est en effet opposé à la volonté américaine d'occuper plus durement encore la France, en nommant, de leur nationalité, des maires, des préfets… Il s'est opposé à leur projet de créer un nouvelle monnaie. Mais j'ai eu beau le lire, à part l'orgueil, et son prétendu sens géopolitique, j'ai eu du mal à percevoir ses qualités humaines. Sans doute souffrons-nous en France d'un tel déficit de Grand homme depuis ce mythe là que nous sommes prêts à nous aplatir encore devant sa stature. Tel n'est pas mon cas. De Gaulle contestait la légalité au nom de SA légitimité. Mais quant il avait obtenu le pouvoir, il constata la légitimité au nom de SA légalité. Comprenez-bien la logique. Les Français étaient pour lui des veaux, mais, pour sa cour, il ne supportait que des larbins. J'ai lu quelques ordres de l'époque de la guerre d'Algérie (Mesmer) aux officiers de maintenir aux plus haut, au plus dur, la lutte contre le FLN, avant qu'il donne aux mêmes un peu plus tard l'ordre d'abandonner, et de désarmer les harkis, les laissant à qui l'on sait pour achever leurs martyrs, (brûlés vifs, enterrés vivants avec leurs familles, égorgés comme des moutons et j'en passe)... Les officiers non serviles risquaient leur carrière et la prison. Qu'ils soient honorés.

      On le disait catholique mais il refusait de pardonnait à ses ennemis (voir l'exécution de Brasillach, parce qu'il avait trop de talents, ou celle de Basthien-Thiry parce qu'il était trop intelligent). Il avait certes plus de complaisance pour ses crapules barbouzes, ou les communistes de l'épuration.. L'ancien maurassien De Gaulle n'a d'ailleurs pas hésité à laisser conduire aux chaînes le vieux Charles Maurras.

      De Gaulle anticolonialiste de la première heure ? Quelle rigolade. Non seulement, dans ses appels du 18 Juin, il appelait tout l'Empire à le soutenir, mais encore, il me semble, au moment des féroces répressions de Sétif ou à Madagascar par l'armée gaullo-communiste, il en était le chef attitré. Quelle étrangeté, cas unique dans l'histoire, que jamais les crimes commis sous ses gouvernements, ne l'aient jamais affecté. L'a-t-on pris pour un dieu ? Les Français ont-il étaient hypnotisés ? Un syndrome de Stockholm ? Sans doute le complexe du père fouettard auquel pardonnent même ses enfants meurtris... Si çà n'est pas de la bisounourserie cela !!!

      Pour sûr, en ce qui concerne l'amitié, la trahison, la confiance, De Gaulle est vraiment un cas d'école ! Merci Elisabeth de l'avoir évoqué...

      "Tout cela pour dire que...". Effectivement.

      personne

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    4. "de gaulle détestait tout le monde" bah toi aussi, moi aussi, tout le monde détestes son voisin vu qu'on pense tous avoir mieux compris les choses que les autres à chaque instant. De gaulle a surement plein de défauts mais il a fait ce qu'il a pu, en tant qu'homme "seul". Si vous voulez vraiment des bases de comparaison, faut le faire de président à président, pas entre nos discours de comptoir : personne n'y fera bonne figure...

      Pour le de gaulle décolonialiste, faut pas confondre guerre et situation de paix...

      Son avis en temps de paix : "avez vous songé qe les Arabes se multiplieront par cinq puis par dix, pendant la pa population française restera stationnaire ? Vous voyez un président arabe à l'élysée ?", il était tout à fait lucide de cette chimie ultra réactive

      Ender

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    5. @ janus
      Il n'y a pas de différences entre un état et une famille un clan une tribu etc...
      Ce n'est qu'une question d'échelle. Les pouvoirs régaliens de l'état ont leur équivalent dans une famille ou un clan.

      Les besoins d'ordre et de discipline, de justice en cas de dispute. Et la sécurité du groupe vis a vis des agressions extérieur. Les pouvoirs régaliens d'un chef de famille ne sont guère différents de ceux d'un d'état.

      Surtout si le dit état n'assume plus ses responsabilités et tombe en déliquescence par trahison et corruption.


      21000dijon

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    6. Une chose me paraît juste : il est difficile de comparer une situation de paix et une situation de guerre. Et rien ne nous autorise à penser ce que nous aurions fait, ou ce que nous ferons demain dans une situation totalement chaotique. C'est dans l'instant que se vit la présence, et ses choix. De Gaulle n'était pas meilleur que les autres, c'était un joueur d'échecs qui considérait les humains comme des pions. L'on peut en penser ce que l'on veut, et réagir librement à des poncifs annoncés. Il n'y a d'ailleurs aucun héroïsme à se situer dans le "sens" de l'histoire...

      Il reste que nous semons les graines de notre futur (ou plutôt des graines, car au moment de la récolte, il y a des surprises). Par toutes les manières possibles.

      Un pauvre aujourd'hui qui reste généreux, à priori, le restera en situation de chaos. Un riche égoïste (même survivaliste), à priori amplifiera encore ce défaut. Il y a évidemment beaucoup de cas intermédiaires, beaucoup de flottements et d'incertitudes. Devant les situations dramatiques (beaucoup en vivent déjà aujourd'hui), chacun réagit en fonction de son vécu. Un tel craque parce qu'il perd sa maison, ou son métier, ou son foyer. Un autre non.
      C'est pourquoi je lis et relis souvent le texte de Kipling "tu seras un homme mon fils", pour me nourrir intérieurement, et me blinder. La littérature, çà a du bon. C'est même plus important que les stocks.

      Eussiez-vous un an de stocks, ou plusieurs années, d'avance de nourriture, d'eau, de munitions, de médicaments... cela ne vous rendra pas meilleur. Et puis, dans un an, dans deux, ou dix si cela dure, vous aurez comme les autres épuisé tous les stocks, ou on vous les aura volés. En ce cas, vous rencontrerez même des imbéciles heureux (?) ou surexcités qui vous reprocheront d'avoir été cigales et non fourmis - jusqu'à ce qu'ils se retrouvent à sec à leur tour, ou pillés aussitôt ou demain, ou même après demain. Ce n'est qu'une histoire de temps.

      C'est pourquoi l'amitié, la confiance sont nécessaires, disons même la fraternité. Trouver des gens bien (il y en a) ne sera pas évident, d'autant plus si vous ne rencontrez plus sur votre chemin que des utilitaristes. Vous savez... du genre qui n'aime pas la littérature...

      personne

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    7. @ ma petite personne

      Faut éviter de confondre ceux qui n'aiment pas les hâbleurs qui parlent de tout pour ne rien dire et La Littérature.

      On peut aimer l'une et redouter l'autre.

      Dugenou

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    8. Le sarcasme est souvent la littérature du pauvre d'esprit dénué d'innocence et de sens dialectique. N'est pas Céline (antigaulliste) qui veut... Cette discussion est intéressante car elle révèle encore combien la pensée unique a fait de ravages. Ses sujets tabous, ses héros ordonnés du passé. Et montre que la scission entre une réflexion libre et le sens imposé de l'histoire désunit les uns et les autres dont l'intérêt serait, pour aujourd'hui et demain, de communier ensemble.
      Est-ce l'idéologie qui entretient l'amitié ? Est-ce là suffisant ? Pour beaucoup des anciennes générations, devant la déliquescence du monde contemporain, la décadence en France démarre après De Gaulle (après 68), je pense qu'elle a commencé avec lui au contraire, même si l'on peut dater bien antérieurement les phases de décomposition (mais pas à cause des "socialistes" - heureusement qu'il y a eu un socialisme français, non marxiste, car sinon les bourgeois se moquaient bien des conditions de vie des moins privilégiés). Pour avoir connu dans ma prime enfance les dernières années de gaullisme, je me rappelle pourtant que ce n'était pas l'idéal.

      A un autre point de vue, il n'est pas inintéressant non plus, pour la pensée survivaliste, (ce que les jeunes générations semblent ignorer) de se souvenir que ce soi-disant temps béni relève précisément d'une situation qui se rapprocherait sans doute plus d'une nouvelle réalité si le confort moderne s'effondrait. Il n'y a pas besoin de remonter à l'ancien régime ou à la préhistoire. Hormis les classes possédantes, nous vivions sans le chauffage central, la cuisinière chauffant la maison, le pendule remonté à la clef sonnant les heures et le réveil, les toilettes à la turque au bout du jardin, la nourriture au frais dans la cave derrière des grillages, non loin du charbon pour éviter le grignotage des rats. Les grandes surfaces n'existaient pas, nous allions même parfois chercher le lait à la ferme. Les coups pleuvaient à la maison, à l'école, un peu partout, pour pas grand chose, et nous étions heureux de recevoir une image en récompense. Nous marchions des kilomètres pour aller à la petite école. Les générations actuelles n'en pas idée.

      Donc, l'ancien monde n'est pas si loin, et nous y avons survécu. Sans doute à cause de la discipline, et d'une organisation commune subie ou consentie. Le manque d'électricité, de chauffage, de conservation, de transports, etc... n'impose pas nécessairement la violence, ce n'est pas de là qu'elle peut venir. C'est pourquoi je ne pense pas que l'économie soit le véritable problème de l'avenir.

      Quant à l'amitié, à la confiance, elle peuvent encore être cultivées au-delà des clivages idéologiques, heureusement. Du moins pour les gens d'honneur.

      personne

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    9. @ ma petite personne

      CQFD

      La cheville ouvrière.

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    10. Alors là Personne je dois dire que je ne partage pas du tout le fait que la violence ne puisse survenir du fait de manque d'électricité ,conservation ou transport bien au contraire ,ceux qui ont vécu , non pas ces manques , mais leur inexistance ne pouvaient donc en souffrir et peuvent encore y faire face ,par contre les nouvelles générations jusqu'a quarante ans , elles ne supporteront pas du tout l'arrét de leur phone en tout genre,de leur toto au garage et de leur boite électrique a glacer les bières,dèjà qu'en période de non manque ils manifestent une agressivité certaine (voir les dialogues des sit-com reflets de la société) je vois déjà ce que cela va donner le jour venu(ou la nuit arrivant)en grand et en technicolor 3 d!!!!quel sens donnez vous au mot économie ? L'amitié et la confiance ont existé de tout temps,il ne peut y avoir de sociétés viables sans un minimum de confiance ,ou plutôt de respect dans la parole donnée,c'est bien pourquoi les humains ont fait des règles de droit pour assise a leur société qui sanctuarisaient la parole donnée comme étant un contrat

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    11. Bonjour Janus,

      Qu'est-ce que l'économie ? Voilà une très bonne question. Le sens que j'y donne ?

      Tout d'abord, je distinguerais l'économie des personnes, des entreprises, des états, voire des Ordres particuliers (comme autrefois l'Eglise et la Noblesse).

      Concernant l'économie des personnes, schématisant (on peut évidemment complexifier et nuancer, qualifier des degrés), je distinguerais l'économie du nécessaire (qui intéresse aujourd'hui beaucoup les survivalistes, les Preppers), qui reviendra sûrement, par la force des choses, à l'avenir de manière prépondérante ; l'économie du confort et du superflu (avec de nombreux degrés et conceptions diverses), qui obsèdent la plupart de nos contemporains. Et il est vrai que les générations récentes, pensées par elle (le consumérisme, le "modisme") auront du mal à s'en défaire. Mais leur manque de caractère ne signifie pas que, même en rageant, ils n'arriveront pas à s'en défaire - du moins pour une partie, si la rééducation est efficiente.
      Puis, l'économie du profit, l'obsession spéculative, que nous élites connaissent bien... Mais aussi une partie non négligeable de la société. Ceux-là, il est clair qu'on devra leur remettre les pendules à l'heure... Enfin l'économie du luxe, fantasme de la troisième catégorie, ou ultime degré pour les spéculateurs.

      En ce qui concerne l'économie des entreprises, la tendance actuelle est à la modernisation technologique, à l'obsession du profit des actionnaires plus que des Travailleurs. Sous-jacent : créer une économie de rentiers, en éliminant les hommes au profit des machines, ou des hommes robotisés. Sens du progrès... L'esclavage est au bout de cette logique.
      Les Etats et les Ordres on encore d'autres approches, dans la mesure où l'oeuvre monumentale, spirituellement, peut être utile à l'existence et à la puissance de la communauté. Et puis, elle est basée sur le long terme ou sur l'éternité.

      personne

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  20. https://www.youtube.com/watch?v=ASj81daun5Q
    Je viens de decouvrir ca donc je partage je pense que vous apprécierez :)

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  21. L original
    https://www.youtube.com/watch?v=GXFSK0ogeg4
    J arrête la :) on gagnera la lutte car Notre Seigneur retablira la vérité et nous sommes ses enfants :) ce monde pourri de mensonge va s écrouler :)

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  22. Merci à François et à Personne, c'est agréable de sentir que l'on peut-être compris; c'est si rare en ce qui me concerne.
    Ivan, mari et père aussi.

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  23. Ben désolé les gars, je ne rejoindrai ni la cohorte de ceux qui furent massacrés en attendant le soutien de leur seigneur Jésus ni celle encore plus nombreuse de ceux qui furent massacrés au nom de l'amour du même.
    Un miracle peut être bienvenu, quelle que soit son origine, mais je ne compterai pas dessus. C'est à moi de développer les ressources et compétences dont j'aurai besoin, y compris les capacités en communication nécessaire pour m'entourer du réseau indispensable.

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    1. Au sujet des martyrs chrétiens, lire le roman superbe du polonais Henryk Sienkiewicz. Où l'on voit que même les romains ont été émus par l'héroïsme des chrétiens. De nombreux centurions, légionnaires mêmes les ont rejoints plus tard, tant leur courage les fascinait.

      A lire aussi pour comprendre les premiers Templiers : "Les combats de Dieu", de St Bernard de Clairvaux, qui rédigea leur règle.

      Nous nous éloignons certes là de la survie (à court terme), mais pas de l'essentiel, l'éternel. N'oublions jamais que, quoiqu'il en soit, nous sommes tous mortels. La survie ne fait que retarder l'échéance.

      personne

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  24. Quo Vadis, de Sienkiewicz, bien sûr.

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  25. Un homme seul est mort courageusement, fièrement en sa qualité d'homme face à un terroriste .
    Accessoirement , il portait l'uniforme auquel il a redonné un peu de lustre car use par l'histoire.
    Les paroles de mon commentaire précédent sur l'homme qui s'épanouit seul et en fait profiter le groupe et non l'inverse , avaient un carectere premonitoire.
    A lire sur le site Brujita . Fr , un article le concernant ainsi qu' un autre article sur LES coïncidences bizarres autant qu'étranges de nombreux attentats qui ont etes précédés de répétitions d'exercices de sécurité face à des attentats, sur les lieux mêmes où étrangement voisins des sites où se déroulent véritablement les attentats PEU APRÈS .
    Obéir, servir, s'anéantir dans l'obéissance , rester un homme plein d'humanité , que croyait cet Homme ?
    Il avait commandé peu avant un exercice de sécurité contre un attentat terroriste dans un hypermarché à Carcassonne.....
    Bizarrement j'ai le doute / sentiment que sa tasse de the aurait / pouvait contenir un peu de poison , je me demande à la santé de qui il a trinque .......
    Sacrifie .......au service de qui ?
    A qui le crime , ( vilain complotiste, va ! ) pourrait il profiter ?
    Gaaaaarde à vous , serrez les rangs , je ne veux voir qu'une tête.
    Je vais relire , comme punition pour mon mauvais esprit, les écrits sur la trahison au sein du groupe , rompez !
    Cdlt.
    Vianney.

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  26. Individuellement, c'est un homme héroïque qui a disparu. Paix à son âme.

    Il est cependant évident qu'il s'agit là encore d'une victime de "l'état de droit". Nous ne nous considérons pas en guerre en réalité, sinon nous appliquerions des méthodes de guerre. Comme autrefois pendant la bataille d'Alger. Et contrairement à ce que certains pensent, ce ne sont pas les socialistes qui ont conduit à l'emploi de méthodes radicales (tous les partis ont voté pour l'envoi des appelés du contingent, y compris les communistes), mais l'évolution des circonstances et les appels désespérés de la population civile à contrer l'hyper violence et la terreur, quelque soient les solutions apportées.

    C'est une question de degré : un attentat ciblé de temps en temps, peu de réaction de l'état de droit, qui juge que le sacrifice de quelques-uns ne suffit pas à le remettre en cause. Dix attentats tous les jours, et l'état revoit sa copie. Cent, et c'est le coup d'état. Il n'y a alors que deux alternatives, et souvent elles finissent par de venir cumulatives, comme pendant la guerre d'Algérie. Soit la population civile victime se rend justice elle-même, avec tous les risques d'injustice aussi, et de se tromper de cible en ajoutant de la confusion et de la terreur. Soit les forces de l'ordre et divers spécialistes de l'armée appliquent les solutions les plus radicales (pas de prisonniers, sauf pour les faire parler ; pas de procès, pas d'avocat, on liquide). Et ensuite, la population civile, toujours ingrate (voire l'état responsable, pour sa politique), fait porter le chapeau à des lampistes, des boucs émissaires désignés ou dans ses manuels d'histoire recomposée, pour se refaire une virginité, et prétendre à une remise en ordre et santé démocratique. Triomphe de l'hypocrisie évidemment. La bonne conscience est à ce prix.

    Conclusion : plus la terreur s'intensifie, plus les consciences se modifient. Plus l'état en tient compte. Plus il passe à l'acte. Et plus les populations réagissent. Mais vu le fractionnement des populations actuelles, leurs différences fondamentales, leurs rapports de force contradictoires, on peut aussi se poser la question : est-ce que ce n'est pas précisément ce que cherchent les terroristes ? Et l'autre question : va-t-on s'en sortir ? Et comment ? Sur qui compter ?

    personne

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  27. sur moi-même, je ne me prononcerai pas. Mais sur des littéraires, très certainement. Tous les grands chefs, officiers, chefs d'état et même conquérants ont été des littéraires, quasiment sans exception.

    Malheureusement, on les retrouve dans différents camps. Citons parmi les romanciers, en défenseur de l'Algérie française, et même de l'Eurafrique, Pierre Nord, auteur de multiples romans d'espionnage. De l'autre côté, nous avions Dominique Pontchardier, alias Antoine Dominique, auteur de la série des "Gorille". Grand barbouze devant l'éternel.

    personne

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  28. Le maréchal Lyautey (auteur d'un manuel de l'officier) était proche de Charles de Foucauld (explorateur, saint, ancien officier et traducteur de poésies berbères). Thomas Edward Lawrence (dit Lawrence d'Arabie) était un grand écrivain (explorateur et officier de même). Alexandre le Grand, César, Napoléon étaient des littéraires. On en citerait des milliers. St Bernard a prêché la croisade. Jamais la littérature n'a fait obstacle à l'action, au contraire.

    Même le Général Aussarresses, dans ses mémoires, cite parmi ses livres de chevet de jeunesse le poète romantique allemand Lenau, ce qui ne l'a pas empêché plus tard d'être un héros de la résistance. C'est dire...

    personne

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  29. Suite... Sylvain Tesson, dans son récit de survie dans les forêts de Sibérie, nous apprend qu'il emporte toujours quelques livres avec lui lors de ses expéditions. Et notamment, parmi ses auteurs préférés, le non-gaulliste Drieu La Rochelle, qui avait préféré disparaître que voir la chienlit se mettre à trôner. Tout comme Yukio Mishima, et sans doute Antoine de Saint Exupéry, lequel méprisait De Gaulle. Je me sens donc en bonne compagnie. Excusez du peu.

    personne

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  30. J'excuse du peu.

    Pas un seul contemporain!

    Te voilà en effet en bien bonne compagnie: des décédés, grands pourfendeurs de populaces, des suicidaires, des manipulateurs et autres zélotes du carnage auxquels il ne suffit pas de t'associer pour devenir Hemingway et te croire en bonne compagnie.

    Où trouver ce héraut, serait il épistolaire, qui galvanisera les foules salvatrices?
    Frédéric Dard?
    Martine?
    Oui-oui?
    ...

    Faudrait-il changer de spécialité académique et tenter des grands noms au:
    bridge?
    yoyo?
    à la boule lyonnaise?
    à la chasse à courre?
    ...

    Le Littéraire comme sauveur!!! Rester sur un tel paradigme dans un monde aussi loufoque n'est pas signe de bonne santé mentale.

    Un même de confiance en mutation.
    PS: ça devrait t'occuper :)

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    1. Oui oui, c'est cela oui... Et c'est le propre de la racaille de se gausser sans cervelle. N'avez-vous pas remarqué comme les voyous contemporains, quand ils ne sont pas dans l'action-pourriture, aiment à ricaner, presque toujours en bande - quand ils ne sont pas sous l'emprise de l'alcool -, car ce sont des lâches. Ainsi leur langue est-elle le bon complément alimentaire de la moisissure de leur âme. D'un rire bien contemporain certes, dénué de toute noblesse.

      Désolé de vous avoir interrompu dans votre jeu vidéo, si intelligent, et tellement courageux ! Je ne doute pas que vous ayez de nombreux amis, complices en la fange. Ricanez-donc, et faites attention en essuyant la bave, la tête pourrait vous en tomber.

      Bien à vous :)

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    2. Petit détail qui vous a échappé : Sylvain Tesson est un contemporain. Et pour rester dans le sujet de l'amitié, merci de me rappeler que, si les alibis idéologiques sont loin d'être suffisants, les affinités comportementales et caractérielles le sont davantage.

      Une phrase qui vous fera sourire peut-être (quoique), et qui ravira tous les cannibales "en herbe" :

      "Les hommes sont égaux ? Oui, au poids de la viande !"

      (Emmanuel Frémiet, Sculpteur de St Michel, au Mont Saint-Michel.)

      C'est cadeau, personne

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  31. Amadis de Gaule dans la besace des conquistadors, les chants du barde Ossian dans celle de napoléon, l'Iliade d'Homère dans celle d'Alexandre. Thomas More et Henri VIII. Érasme et Charles Quint. César et Cicéron. Sénèque et Néron. Marc-Aurèle. Cervantès à la bataille de Lépante contre les Turcs. Nithard, petit-fils de Charlemagne, premier écrivain de langue française. Jusqu'à De Gaulle et Churchill que d'aucuns appellent littéraires... Voyez-vous toujours une contradiction entre la littérature et l'action ?

    Merci de rendre à César ce qui est à César.

    personne

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    1. @ sa petite personne

      Tu restes coincé dans ton cadre culturel. Tu étales avec complaisance références sur références et phrases toutes faites comme si tu vivais par procuration, ça ne va pas suffire.

      Ce sur quoi j'attire ton attention depuis un moment, avec gentillesse et patience mais manifestement bien inutilement, c'est que la "littérature" ne nourrira pas ton corps et que faire le troubadour pour survivre ( et il ne t'aura pas échappé qu'il y a des sites qui en parle et d'autres dédiés à l'onanisme intellectuel: voir les commentaires du monde, de libé du point et autres bonnes compagnies) reviendra à faire la pute et pour le même résultat.

      D'autre part, non seulement tu n'es pas le seul "littéraire" par ici et donc tu peux ranger ton étalage de confiture qui ne fait avancer en rien l'esprit survivaliste et je t'invite à te pencher sur des réalisations concrètes plus personnelles dont tu pourras nous parler plus tard.

      A titre d'exemple, et pour espérer être à ton niveau, pour que tu saisisses en un raccourcis, voici UN exemple au niveau du caractère et du passé qui ressemble bien plus à ce qui nous rassemble sur ce site que certaines de tes références oiseuses: Cincinnatus.

      Quant à tes grognements et humeurs ... ça ne m'empêchera pas de lire.

      Voili voilou, je t'en dis assez, tu auras le dernier mot que voici

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  32. oh personne,sérieux t'as pas d'amis,tu t'embêtes dans la vie?19 commentaires sur cet article sur 67 au total,c'est presque du "trollisme"!!!on a compris que tu étais érudit et savait lire mais au bout d'un moment,ca saoûle tes coms sans fin!!t'as toujours quelque chose à dire sur tout;vas y fais toi un blog ou un forum ou alors vu comme tu dis qu'un stock ne sert à rien et qu'il vaut mieux de la lecture,bouffes tes bouquins et fermes la un peu stp,ca nous fera des vacances!!!pas cordialement du tout,jean.

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  33. Ce que la fréquentation des commentaires m'a appris a ses vertus de connaissance : le milieu survivaliste n'est en réalité pas différent du reste de la société. On y côtoie les même défauts : fourberies, grossièretés, mensonges, sarcasmes, cyniques, larbins de la pensée unique - de fait les mêmes divisions. Merci à St Michel et à Yvan, entre autres, pour leur pensée (âme) différenciée. Nos valeurs ne se croisent que par accident.

    Bonnes vacances.

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    1. à ma p'tite personne

      Bon tu m'y obliges mais c'est pour ton bien.

      Comme quoi t'es bien une pomme et que tu ne comprends quelque chose que dans ton schéma étriqué:

      Le Saint Michel et sa belle âme différenciée que tu remercies par accident et qui répond @ Richard le 20 mars à 13:20
      dans "les communications en temps de chaos"

      c'est aussi moi!

      Tu confirmes ainsi que je sais détecter différentes formes de psychopathes quand je les lis, les rencontre. C'est vrai que celui là était un peu gros, ou tenait juste un petit coup dans le nez. Ca ne le disqualifie pas complètement mais ça alerte. Parfois les moments de honte passent vite.

      C'est un travail de longue haleine mais un travail obligé. Pour construire la confiance et être dans la coopération, comme un intervenant l'a écrit, en temps de chaos mais c'est aussi valable en temps ordinaires, il faut pouvoir séparer le bon grain de l'ivraie.

      Tes abus de langage sur ce blog, et ta propension à vouloir écrasé les autres interlocuteurs, par rapport à la teneur habituelle des écrits sur ce site ton mis dans lumière.
      Pour un temps de KK il te faudrait plutôt t'intéresser à "l'homme gris", à la discrétion et à l'humilité.

      Tout ça devrait aussi te donner à réfléchir à moins que tu veuilles nous citer un autre intervenant pour partager et accompagner ta frustration?

      Saint Frusquin

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  34. Simposteur, vous confondez sincère et étriqué. Certes pas fourbe. Peut-être naïf et imprudent. Tel comptage mesquin aura oublié qu'il existe donc des intervenants trop lâches pour n'assumer qu'un avatar, et dont la multiplication n'a pour objet que de manipuler... Je retiens la leçon de l'homme gris. Pas sûr qu'au final vous valiez mieux que tel autre jugé psychopathe.
    Puisque vous réclamez votre citation, je ne manquerai pas de vous faire ce plaisir. Elle vous concerne aussi :


    "Quand ceux qui auront eu la malchance de croiser ton chemin et de te faire confiance mais qui auront eu "la chance" d'avoir l'autorisation de te suivre pour te servir comprendront qu'ils sont du consommables pour toi, tu auras quelques soucis à te faire.

    A moins bien sûr que seuls quelques QI déficients apprécient ta compagnie sinon tu risques fort de passer pour le psychopathe dont tu donnes une fine description.

    Pour ma part, ton dernier paragraphe te mets haut sur la liste des nuisibles."

    Salutations, personne

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    1. à sa p'tite personne

      Ingrat et plagieur, deux vilains défauts.

      Dans l'article d'Elisabeth:
      _ "Une personne résistante, soit résiliente (stricto sensu), c’est quelqu’un qui observe le monde, se prépare à s’adapter, anticipe les difficultés et connaît ses alliés."
      _ "Le survivaliste pêche souvent par excès d’individualisme et n’a pas pour vocation de tendre la main.
      Mais si tendre la main avec intelligence était la véritable solution ?"

      Je te fais l'honneur, oui oui, de te tendre la main, de te faire la démonstration sur presque un mois ( depuis "pillage et rapine" ) que ta stratégie "Littéraire" en tant que "survivaliste" n'est pas viable et qu'il manque quelques briques solides à la construction de ton raisonnement et à ton éventuelle sécurité.

      Plus tard, sournoisement, tu adresses par-ci par-là un peu de "ricanements, un peu de bave, tu glisses du "Le sarcasme est souvent la littérature du pauvre d'esprit dénué d'innocence et de sens dialectique" (sic)" puis tu chougnes et tu pleurniches quand tu demandes qui te sauvera sans penser que tu pourrais commencer par toi même, cesser avec la "littérature" et accepter que dans un monde différent il faille reconsidérer sans cesse ses modes de pensées et d'actions.
      Et peut être en changer le lendemain!

      Je te parle de stratégie de survie, de discrétion, de moyen de créer la confiance, je te fabrique un bon petit scénario pour affiner le sujet et tu n'en comprends rien!
      Tu ne regardes que le doigt.
      ...

      PS:
      J'aime les livres, j'ai des livres, plein, qui sentent bon quand je les ouvrent, partout à chaque étage et je me demande lequel je ne placerais pas entre fenêtre et volets pour m'abriter de tirs ... au cas ou et lequel je ne jetterais pas au feu pour me chauffer ... au cas ou.
      Un livre est aussi parfois utile et chaleureux par/pour son contenu mais voilà, ça ne suffit pas, ni au potager ni au club de tir.

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    2. Salut à toi Richard,je viens de te lire et lorsque tu parles du douloureux choix des bouquins qui feront pare balles de fortunes,j'avais également pensé à cela et dans l'idée d'épargner ma bibliothèque,j'ai commencé à collecter toutes les pubs/catalogues que l'on reçoit dans la boîte aux lettres,ces derniers empilés en tas d'environ l'épaisseur du vide entre les volets et la fenêtre,maintenu par de la lieuse que je récupère sur les bottes de foins,et embalé dans un ou deux sacs poubelles et mis sur la tranche puis empilé comme des briques entre volets et fenêtres;en plus cela isole un peu plus l'habitation et on recycle ce papier glacé qui ne crame pas dans le poele;voilà juste une petite idée récup' et qui épargnera de la précieuse lecture,bien à toi,jean.

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    3. On peut aussi se constituer une armure à l'antique avec de la toile de lin superposée et de la colle adaptée. personne

      http://qualisarma.com/linothorax/

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    4. Bonsoir à toutes et tous,petit erratum,mon com' du 26/03 à 07h23 ne t'étais pas destiné Richard,je me suis embrouillé les pinceaux,c'était en réponse au com' au-dessus que je déduis être l'oeuvre de Saint Michel,bref,si jamais l'idée peut servir à quelqu'un...
      à l'attention de Personne:t'es vacances n'ont guère duré dis moi :-) bon,je te taquine là mais je suis également heureux que tu ne sois pas parti définitivement et je vois ce soir à la lecture de ton dernier commentaire vachement plus succint que tu as compris(je l'espère)le sens de notre "agacement";je te prie également bien vouloir excuser mon language peu chatié mais je m'exprime ainsi dans la vie,c'est vrai qu'à la relecture,je paraîtrai assez vulguaire mais l'essentiel n'est il pas que l'on se comprenne?bref,pour le sujet "parebastos" de fortune ton lien me semble plus adéquat à de la reconstitution de combat d'une autre époque car avec des armes modernes,mm 14 couches de lin avec des écailles de cuir pas dessus ne stoperont pas un pruneau,par contre,pour rester dans la mm idée,des couches de tissus(le jean coton par ex)
      superposées,mélées dans une ame de résine polyester avec au coeur une belle plaque d'acier de dix millimètres d'épaisseur commenceront déjà à stopper un peu plus les projectiles,bon je ne vais pas réouvrir le sujet,on avait déjà tous longuement parlé dans un article ici présent des gpb donc... bien à vous tous,jean
      p.s:si jamais cela vous intéresse,on trouve des vidéos pas mal sur youtube ou les gars essaient des systèmes comme je parle au dessus,à chacun de voir et d'essayer la pertinence de ce genre de "bidouilles".

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  35. ben tiens ca faisait un bail que j avais pas commenté, même si c est toujours un plaisir de lire certains, et merci Elisabeth pour cet article de qualité mais j ai envie de dire comme d hab😊 bref juste un pti mot pour dire que bon les gars, arrêtez de vous envoyer des scuds pour savoir qui a la plus grosse, et puis ca n apporte rien. et j avoue que j aime bien la phrase que la culture c est comme le beurre, moins on en possède, plus on l étale. Faire preuve d humilité ca fait pas de mal, et ca rend le débat et les échanges plus lisibles. enfin pour finir un pti hello à tout ceux qui apporte ici, Pierre of course, Elisabeth, François,richard9a, ce cher janus et tout ceux que j oublie! mad

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  36. bah.. on peut encore philosopher.. appuyé sur un comptoir un petit rouge devant soi.. sur un forum caché derriére son écran.. tout est encore possible..

    demain.. un jour.. on aura plus le temps.. il faudra agir..

    la prépa +++ la chance +++ le fric +++ la foie +++ on ne sait pas!

    certains s'en sortiront.. grandis ou rampant.. on fera ce qu'on peut..

    Mais toutes les belles phrases d'aujourd'hui ne vaudront pas une adatptabilité extréme demain ..

    Bonne prépa a tous.. et vive ma bonne vieille mosin..

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  37. Houlàlà...j'arrive en plein pugilat...et me barre vite fait de là !

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  38. Salon du survivalisme à la porte de la Villette ce WE passe . Un article sur le site " la chute" ( merci Laurent De nous l'avoir indiqué ) à ce propos .
    Un article dans " Libération " a ce propos , qui veut se payer les ( mauvais ) survivalistes De la fachosphere et apparentés mais contient quelques informations exploitables.
    A la lecture de tout cela ( tableau notamment ) j'ai réalisé une chose : je vais me tenir prêt à accueillir quelques membre delà surviedouce quand ils seront tirés de leurs projets par la dure realite qui se fera jour immanquablement, gestion des compétences, gestion des ressources , tendre la main sera un début de solution .....
    Quant à accueillir un journaliste de Libération , sans faire d'amalgames douteux à la limite du mauvais goût , le travail vous rendra libres les gars , chacun se forge les propres chaînes de sa servitude donc à vous et à vous seul De briser les votres, bonne chance.....
    Cdlt.
    Vianney.

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  39. https://francais.rt.com/france/49187-compagne-redouane-lakdim-regretterait-quil-n-y-ait-pas-plus-de-morts
    Quelle bande de sales rats dechets de la société ca promet pour la suite._._._.

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  40. " Amitié, confiance et survie "
    J'ai déjà écris plus haut ce que je pense de ces mots et de ce qui en découle.
    Déjà, depuis que j'ai commencé à stocker, je ne le dis à personne, même et surtout aux membres de ma famille. Car lorsque mon frère "cigale aujourd'hui" criera famine demain, il pourrait me réserver un bien triste sort si je n'acceptais pas par exemple de l'héberger, lui, sa femme et ses gosses.
    Je préviens qui veut bien m'écouter qu'il faut se constituer des réserves mais personne ne l'entend : tout paraît si calme dans la ville... "il n'est pas un peu-beaucoup parano, le Richard ?! " Alors le jour ou je devrais choisir, je jouerais ma propre carte de survie.
    L'amitié, la confiance, cela n'aura plus court lorsque les bobos auront faim, froid et plus de toit.
    J'ai connu des hommes prêts à tout pour me prendre ce que je voulais gardre pour ma propre survie après leur avoir donné de quoi manger. J'ai dormi avec ma 30.30 dans le duvet, le sabre dessous.
    Je revendique le chacun pour soi. Ceux qui voudront donner leur confiance pourront peut-être le payer très cher.
    Ces mots n'existent plus au pays des zombies.

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  41. J'ai stocké des Margerin, Cuadrado, Tronchet, Hislaire pour les jours sombres à venir.
    J'ai ressorti ma montre et remis une pile pour savoir quelle heure et quel jour il sera à tout moment.
    Mon multitool va bientôt arriver par la Poste. Il m'évitera des allers et venues incessantes au garage.
    Je me sens prêt.

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